SLONN
-Quelques petites précisions. De un, nous ne te demandons pas ton avis. Ton statut de Voyageur de notre Royaume fait que ton âme nous appartient et nous décidons que tu seras un de nos soldats et que tu travailleras pour nous. De deux, rassure-toi quant à ton utilité. Tous les Voyageurs viennent au monde avec un pouvoir né de leur ancienne phobie. Ce pouvoir te permettra de te défendre dans Dremaland mais également de combattre en notre nom là où on te le dira. *L'être en noir s'avance.*
-Je te rassure. Nous ne sommes pas ... Étouffant. Considère-toi comme un agent libre. Tu es libre d'explorer ce monde comme tu l'entends. Mais tu devras répondre présent quand nous aurons besoin de tes services.
-Et pour répondre à ta question. Notre Royaume n'est engagé dans aucun conflit actif. Mais tu apprendras vite que dans ce monde, les conflits vont et viennent... Beaucoup de Royaumes lorgnent sur nos terres et sur leur puissance ancestrale. Nous-même, nous espérons pouvoir regagner la puissance qui fut nôtre il y a des siècles et des siècles. ------------------------------------
ICHABOD
[HRP: Mollo sur la description des trucs, je reste MJ :p. Mais on va dire que ça va, t'as presque décrit ce que je voulais faire]
*Non les lumières ne s'étaient pas allumées à l'entrée du Voyageur. Mais la porte s'était effectivement refermée aussitôt que le Voyageur était entré.
Le manoir en lui-même... Bah c'est un manoir poussiéreux, les tapis étaient déchirés, les murs étaient recouvert d'étoiles d'araignées. Le lustre avait cédé depuis bien longtemps et gisait au sol, totalement détruit par la chute.
Le Voyageur progresse dans ce grand hall et voit au fond de la pièce, un grand escalier qui mène vers les étages supérieurs. De ces escaliers était en train de s'écouler lentement une sorte de brume verdâtre. La brume semble provenir des étages et s'écouler lentement par les escaliers par le sol.
Ichabod aurait pu le jurer, cette brûme n'était pas là quand il est entré.
Il y a comme un rire qui vient de derrière-lui.
Evidemment, il n y avait personne.*