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Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 29 Déc 2013, 15:54
par Père Castor
*Non seulement c'est du plagiat, mais en plus c'est un fail. Point de soleil ne brille et le nuage se retrouve comme un couillon sans savoir quoi faire. L'adversaire de Djoko reste comme un idiot en se grattant le menton.*

Qu'est ce qu'il a essayé de faire en fait ?

-Mmh...

Certainement un contrôleur météo ou une connerie dans le genre qui ne contrôle pas du tout son pouvoir... Je suis tombé sur du GROS débutant en fait... Qu'est ce qu'il fout en Zone 2 ?


*Prit d'un moment d'hésitation, l'adversaire de Djoko n'attaque pas.*

Se battre contre un baby ok, mais merde, si le type est pas foutu de contrôler son pouvoir correctement, c'est même pas drôle !

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 29 Jan 2014, 21:17
par Djoko Choco
L'attaque de Djoko a complètement ratée. Mais le voyageurs d'en face est prit d'hésitation, c'est une belle occasion pour Djoko.

/Bon ça n'a pas marcher et en plus il doit savoir maintenant que je suis un contrôleur de la météo. C'est pas le moment d'hésiter je fonce dans le tas puis on verra bien./

Djoko coure vers son adversaire en tente de lui mettre un coup de poing, si le coup arrive destination, il sauterait en arrière et lancerait un éclair puis finirait en lui mettant une balayette.

/Cette fois ci faut pas que ça rate./

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 31 Jan 2014, 02:37
par Père Castor
*Voyant le Djoko courir vers lui, le Voyageur sort de sa torpeur et pare le coup.*

Mouais... Faiblard...


*Il fait une grimace et balance un coup de poing dans le nez de Djoko.*

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 20 Mar 2014, 16:17
par Windman
Cela fait quelques temps que Gino est perdu. Ça ne tourne pas rond dans sa vie réelle et seul Dreamland lui permet de penser à autre chose. Avec ce qui s'est passé au royaume des doutes, il est aussi perdu dans son "monde de refuge". Une forme d’insécurité surgite de temps en temps.
Il sait que tout ce qui l'entoure là-bas n'est pas réel, que son vrai monde est le monde où il va travailler tout les matins. Mais il prend vraiment goût à sa vie de voyageur, il prend plaisir à se couper de la monotonie du monde qui paraît si futile l'entourant. Se lever, travailler, avoir des problèmes que l'on ne peut gérer seul car on est impuissant. Bien sûr un problème s'arrête toujours un jour ou l'autre, mais sans Dreamland, Gino ne se sentirait que opprimé par ce qui l'entoure.
Il veut profiter de ce monde onirique. Son projet ? Il n'en a pas parlé à Gabriel finalement. Il préfère attendre encore. Il veut juste survivre à ce monde. Et pour survivre, il faut savoir se protéger. C'est avec cet objectif que le contrôleur du vent s'est entraîné depuis plusieurs nuits. Il sent que sa défense s'améliore avec le temps, mais il n'a pas encore le résultat escompté.
Il s'endort alors avec son envie d'entraînement, encore et toujours.

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L'élémentaire se trouve au milieu d'une grande rue. Le voilà dans une grande ville. Lui qui préfère la campagne pour s’entraîner, il n'a pas trop de chance cette nuit. Il commence à marcher les mains dans les poches et aperçoit des casinos, des hôtels, des grands restaurants, le luxe quoi.
Des tas de gens passent et repassent autour de lui. Certains sont heureux et hurlent de bonheur tout en lançant des billets. D'autre sont assis par terre, d'un air abattu. De temps en temps, des personnes cagoulés rentrent dans un bâtiment et une sirène sonne. Des braqueurs amateurs sûrement.
Il est temps de prendre de l'altitude. C'est bien de se promener, mais les rues bondées ne sont pas les choses qui apaisent Gino. Il décide alors de rentrer dans un hôtel pour monter sur le toit de ce dernier. Le voilà donc qui se dirige vers l’ascenseur. Une fois à l'intérieur, il appuie sur le bouton avec le plus gros numéro et l’ascenseur monte.
Il y a avec lui un homme et une femme. Ils ont l'air très amoureux. Mais vraiment TRES amoureux. Un homme d'une cinquantaine monte aussi avec eux. Il n'y a rien à dire sur lui car il est trop... passif. C'est ça le mot. Il attend, regarde droit devant lui mais a cependant le regard dans le vide. L’ascenseur s'arrête et le couple sort. L'ascenseur monte à nouveau. 21. 22. 23. Le voilà qui s'arrête.

- Pourquoi il monte sur le toit lui ?

L'ascenseur s'ouvre et Gino descend. Il commence à marcher sur le toit. Puis après 5 ou 6 pas, il se retourne pour voir ce que fait l'autre homme.

- Pourquoi vous montez sur le toit ?

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 21 Mar 2014, 02:29
par Père Castor
*L'homme se tourne vers Gino et demande simplement.*

-Et pourquoi pas ?

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 21 Mar 2014, 21:19
par Windman
Qu'est ce qu'on disait. Un vieil homme monte sur le toit avec lui et le voilà qui se sent un truc louche. Il faut vraiment qu'il refasse confiance à ce monde.

- Pas faux.

Il marche alors en direction du bord et s'assoit sur le bord du toit, les jambes dans le vide. Il lève le bras gauche en l'air. Il amasse de l'air dans sa main gauche. L'air ne forme pas une grosse masse difforme, mais plus une tige d'un mètre tel un bâton ou un javelot. Il essait de la rendre la plus résistante que possible et la lance sur le toit d'en face.
Arrivé au contact, l'air se dissipe. Comme chaque nuit.

- Mouais c'est pas gagné...

Il recommence et continu comme ça. Puis tout d'un coup il se retourne et demande à l'autre homme.

- Vous êtes venu prendre l'air ?

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 26 Mar 2014, 02:24
par Père Castor
WINDMAN


*L'homme prend place aux côtés de Gino sur le toit du bâtiment. Il le regarde faire avant d'aquiescer simplement à la réponse de Gino.*

-J'apprécie l'endroit mais la foule me rend nerveux. Prendre l'air en hauteur est toujours agréable.

*Il tend sa main vers le vide.*

-On prend de la distance avec les choses...


*Son regard se perd dans le vide avant qu'il ne tourne la tête vers Gino.*

-Et vous ? Qu'est ce qui vous amène ici ?

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 26 Mar 2014, 18:32
par Windman
La foule qui rend nerveux, prendre de la distance en allant en hauteur, on dirait que cet homme lit dans la tête de Gino.
L'homme lui pose à son tour la même question. Il ne sait pas si c'est un rêveur ou un voyageur. Si c'est un voyageur c'est simple à expliquer. Et si c'est un rêveur c'est simple aussi après tout.

- Ce qui m'amène ici ? J'ai moi aussi besoin de prendre mes distances. Ce monde me plonge dans une certaine perplexité. Du coup, je m'éloigne de toute cette foule pour respirer tout en m'entraînant.

Il reforme un javelot dans sa main. Une fois formé, il le relance. Le javelot vole jusqu'au bâtiment d'en face et se désintègre en touchant le mur. Try again.
Puis une question brûle aux lèvres du contrôleur du vent.

- Vous savez ce qu'est un voyageur ?

S'il répond oui, ce sera clair. S'il répond non, ce sera soit un rêveur, soit un ignare, soit un mytho. Mais bon, ça ne sert à rien de s'emballer à imaginer autant de possibilités. Il a l'occasion de discuter tranquillement avec quelqu'un et peut-être gagner un peu de sagesse avec cet homme. Après tout, les hommes d'un certain âge sont censé être mûre. Enfin un peu au moins.

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 28 Mar 2014, 02:35
par Père Castor
*L'homme fait de grands yeux.*

-Un quoi ?

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 28 Mar 2014, 18:00
par Windman
Bon et bien on dirait qu'il ne sait ce que c'est. Tant mieux, il ne devrait pas y avoir d'agitation.

- Non rien, c'est une vieille histoire. Je me demandais si tu étais au courant.

Il recommence à lancer ses javelots. On dirait que ce n'est pas pour ce soir que ça va marcher. Il regarde d'un air perdu le mur d'en face.

- Admettons que vous ayez un pouvoir et que vous décidiez de l'utiliser pour aider des personnes autour de vous. Cependant vous remarquez que plus vous avancez, plus le danger est grand. Mais même si vous voulez vous arrêter, vous voyez que ceux qui vous entoure continuent d'avancer et alors vous ne leur serait plus d'aucune aide si vous restez dans la zone de sûreté. Vous feriez quoi ?

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 29 Mar 2014, 02:14
par Père Castor
*Le monsieur réfléchit et le MJ va relire parce qu'il est fatigué.*

-Je sais pas, c'est biscornu ton problème. Parce que si les gens avancent plus loin que toi, c'est qu'ils ont pas besoin de toi. Dans ce cas, est-ce qu'il faut se mettre en danger pour suivre la cadence où fait son bonhomme de chemin comme on peut ? La réponse à la question dépend de ce tu veux réellement garçon.

*Il hausse les épaules.*

-Enfin si on parle de toi... Personnellement, je pense que j'avancerais à mon rythme. Si je me mets en danger et que je meurs comme un con, je serais utile à personne. Mais je sais d'expérience qu'il est parfois difficile de s'arrêter et de penser à soi.

*Il tourne la tête vers Gino avec un grand sourire.*

-On a tous besoin de quelqu'un pour veiller sur nous !

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 29 Mar 2014, 15:06
par Windman
Gino écoute les paroles. Finalement progressé à Dreamland c'est comme un course. On ne va pas tous on même rythmes. Chacun a une perte de régime à un moment. Le tout est d'arrivé au bout de la course.

- Ouais merci.

Il se relève.

- Lui parler de Dreamland ne serait bien. Ce serait un cadeau empoisonné.

- Vous voulez rester là ?

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 30 Mar 2014, 21:53
par Père Castor
-Ouais... je suis bien ici.

*Il sourit et ferme les yeux pour profiter de la petite brise.*

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 31 Mar 2014, 17:39
par Windman
- Comme vous voulez. Faites de beaux rêves !

Il commence alors à courir sur le toit et une fois arrivé sur le bord s'élance en l'air pour atteindre le bâtiment d'en face. Il se réceptionne avec une petite roulande. Une fois de l'autre côté il regarde la ville autour de lui. Il n'y voit rien de bien spéciale à part une grande fourmilière qui bouge sans cesse.

- C'est repartit.

Gino reforme à nouveau un javelot dans sa main. Il se concentre sur tout ce qu'il sait déjà faire. Les disques d'air ne sont qu'un premier pas vers cette technique. L'élémentaire se concentre et le lance de toutes ses forces sur le mur d'un nouveau bâtiment.

Re: Kazinopolis

Message non luPosté: 01 Avr 2014, 00:04
par Père Castor
*L'air se dissipe à nouveau, cette technique serait pas si facile que ça à développer. En attendant, Gino était toujours seul sur les toits...

Pour le moment.*