*Dans une vaine tentative pour se libérer, le chevalier sort soudain une épée de son cul et entreprend de s’assommer avec tout seul comme un grand.
Merci Esta, pour cette magnifique action. Fallait pas. Vraiment.
Est-ce que je peux me réveiller ? S'il vous plait ? Faut que j'aille nourrir mon poney.
Non ?
Bon.
Au revoir Esta donc, et bonjour les emmerdes.
Nous voilà donc avec deux épéistes qui se retrouvent comme des cons avec un Estazolam KO sur les bras et évidemment, leurs avis divergent quant à la conduite à tenir pour gérer le paquet. L'un veut faire un envoi express par chronopost vers le premier royaume qui passe, l'autre est plus partisan de l'opération déminage pour colis abandonné.
Deux approches très distinctes donc, je vous laisse deviner laquelle vient de l’épéiste pure souche.
Non mais vient Mark, on n'a qu'à adapter votre motto de merde à notre cas. Mais si, tu sais, celui qui dit que "tomber dans un piège pour mieux le déjouer fait toute la beauté du combat" . On n'a qu'à dire, je sais pas, que " laisser un ennemi en vie pour mieux lui repéter la gueule plus tard fait toute la démonstration de notre supériorité" ou un truc du genre.
Tu vois, moi aussi, je peux faire de super devise.
Je peux te la graver sur ta hache si tu veux.
- Ce qui est dangereux pour les uns peut l'être tout autant pour les autres. Estazolam me parait bien plus gérable que n'importe quel groupe dangereux : je veux dire, j'ai juste eu à lui tenir la main en lui disant " vient on va là bas" et point. Ça va, je me sens pas surchargée.
A côté de ça, on a les météors qui me paraissent autrement plus problématique et pourtant, on va pas leur péter la gueule tous les quatre matins...