par Glae » 30 Aoû 2011, 22:21
Pendant un court instant, Glae s'était ENCORE retrouvé dans le noir, sans savoir pourquoi, mais avec un gros mal de tête (pour changer...). Le bon point, c'était que quelqu'un essayait de le tirer de... de la ou il était, et qu'il reconnu rapidement la voix de Nico. Les Mauvais points, c'était qu'il se retrouvait encore dans le noir, la tête plantée dans ce qui semblait être un arbre mort; que son crane saignait abondamment; que la bête semblait encore vivante, et qu'en plus, d'après le bruit, elle se rapprochait dangereusement.
Et tout se passe très vite; nico fit disparaitre la tête de Glae, qui réussit à sortir du tronc, alors que la créature, qui semblait avoir deux gros pansements sur les yeux, se faisait mettre en déroute par... Un mec totalement inconnu, mais qui semblait sûr de lui, et pour cause; il réussit assez rapidement à mettre l'affreuse bestiole en déroute, plus ou moins volontairement; en effet, après s'être fait écraser par la bête, qui s'était enfuie pour une raison que Glae ne comprenait absolument pas, il était affalé au sol.
Glae, la tête encore endolorie par le choc et la vue un petit peu brouillée par le sang qui lui coulait devant les yeux, Regarda ses compagnons.
-Bon alors... Merci bob, de nous avoir sauvé, hein!
Puis, se rendant compte que l'homme était totalement sans connaissance, il se tourna vers Flo et Nico, avant de leur demander;
-Quelqu'un peut m'expliquer qui c'est lui?
Mais très vite, cette question perdit toute son importance aux yeux du voyageur de la loose, car il aperçut quelque chose dans le ciel qui ne lui plaisait PAS DU TOUT. Il ne distinguait pas grand chose, avec tout le sang qui ui obscurcissait la vue, mais il distingua quand même des ailes, et pas des plus petites. En gros, plutôt dans le genre gros Dino que mouette...
-eeeeuh on ferait mieux de ne pas rester dans le coin, je pense! Vu ces trucs, et mon pouvoir... Surtout que Bob dors encore, alors pour se défendre...
« Vivre, c'est passer d'un espace à un autre en essayant le plus possible de ne pas se cogner. »
R. Queneau, voyageur-contemplateur
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