par Chisouka » 24 Déc 2010, 14:08
#Je suis pas encore à terre salope ! Tu vas payer, pour tout ce que j'ai enduré dans ce monde de malade !!#
*Lui adressant un sourire angélique, malgré l'inquiétude elle lui dit.*
Ooh un brave prêt à défendre sa dignité, mais quelle ironie, tu cherches les ennuis et c'est moi qui paie. Non, mais ça va pas, tu vas aussi me dire que tu es persuadé que le Père Noël porte un string en poil de yak et que sa femme est une hobbit amputée des membres inférieurs.
*Le détaillant des pieds à la tête, elle ajoute.*
Honnêtement, t'es pas glorieux, regarde toi, gras, laid, pervers et j'en passe... tu n'as pas une qualité.
*Arrachant un bout de champignon tout proche elle lui tend.*
Tiens, étouffe toi, ça ira plus vite. Sinon viens je t'attends, me tabasser ne ferait qu'enrichir ta gloire personnelle.
*Sans savoir pourquoi, elle continuait de l'agacer.*
Après tout qu'est-ce que tu veux que j'y fasse, je ne suis pas bien grande ou grosse, je ne sais pas me battre, en clair je suis comme qui dirait sans défense, mais tu vas vite apprendre qu'il faut ne pas me faire chier.
* Prenant une voix douceâtre elle termine son affreux monologue, les bras le long du corps.*
Allons, approche mon chou, fais toi plaisir. Je sais que ta mère a dû te bercer trop près du mur, que la femme de ta vie court toujours et risque de courir longtemps vu ta tête, pauvre petit, éternellement seul dans la vie réelle et fraîchement castré dans le monde des rêve. Alors, approche, quelqu'un t'attends enfin.
*Un hurlement aigu sort de la bouche de Chisouka.*
Et la salope comme tu dis si bien, elle va te faire bouffer tes dents et plus sans affinité.
\Ca craint, je suis mal barrée, très mal barrée, il me touche je hurle. En plus qu'est-ce qu'il fou là, y a pas un monde spécial pervers dans Dreamland ? Histoire qu'il fasse pas chier./
*Cette pensée lui traversait à peine l'esprit que gut se jetait sur Roger.*
\On est mal, pinaise, qu'est ce que je fais ?(...)/
\Bon je suis gentille je me casse pas, mais j'ai comme qui dirait envie de retourner au sommet du champignon et d'y rester jusqu'au réveil./
Le chocolat est notre ennemi, mais fuir devant l'ennemi, c'est lâche ! \O/