On s'était débarassé des choses. Nickel. Au calme.
A la question e haussai les épaules, en reprenant mon souffle.
-Ouais, déso pour ça. Ca doit être des cousins. Ou des patients, chépas.
Je me tournai vers la camarade au guichet.
-Ces messieurs ont rendez-vous avec le docteur Wolz. Je connais le chemin !
Et, une fois les formalités établies, je les ménerai vers l'ascenseur habituel. Non, j'ai peur de rien.
Et puis bam, hein, en route vers le bureau du patron.