Fiche de Gotrek

Pseudo : Gotrek
Age : 22 ans
Ville : Lille (actuellement, pour mes études)
Activité : Etudiant dentaire
Phobie 1 :Phobie des blessures et plaies importantes et mutilantes (Traumatophobie)
Phobie 2 : Phobie des serpents / Ophiophobie
Ce qu'il aime : les jeux vidéo (entre potes et l''aspect compétitif), le métal, la guitare, ses études (et son future métier)
Ce qu'il déteste : la paperasse, le fromage (quand il n'est pas cuisiné et fondu genre dans la tartiflette ça il aime beaucoup), les marabous et autres magnétiseurs.
Récap des nuits
Bon… Enfin chez moi.
Il est 19h15 et je suis enfin de retour dans mon appartement. Comme tous les jours, j’allume mon pc, dépose ma sacoche et range mon long manteau noir dans mon placard.
Je suis vraiment stupide d’avoir pris ce manteau aujourd’hui… Il a fait une chaleur à crever. En même temps il est trop classe ce manteau.
En revenant vers mon pc je me rends compte de l’heure qu’il est.
19H20 ! Déjà ! Mince j’ai raté le début du live de Zera…
Dans la précipitation, je me rue sur le clavier, et lance le stream de ZeratoR. OH !!!!! SON PERE !!! (Voix de ZeratoR, d’ailleurs ça gueule un peu dans l’appart parce que j’ai oublié de baisser le son après avoir débranché mon casque). Sur ces mots, je vais me préparer à manger et m’installe une assiette devant l’ordi.
Une fois mon repas terminé, machinalement je lance un jeu. Je n’ai vraiment aucune envie de travailler ce soir.
23H30
- Bon, je m’arrête là pour ce soir. On s’est bien marré, à demain en clinique les mecs.
Je coupe la conversation skype, pose mon casque et éteint mon pc. Je mets mon réveil puis je m’allonge dans mon lit. La journée a été éprouvante, le stress des parties que je venais de faire est retombé et la fatigue me gagne. Je pose mes lunettes, mes paupières sont lourdes. A peine ai-je fermé les yeux que je sombre dans un profond sommeil.
Soudain, je sens un courant d’air frais.
Qui a laissé une fenêtre ouverte ici ?
Je suis dans une salle de soin, elle ne ressemble pas aux salles de cliniques de la fac mais je porte bien ma blouse. Je parcours la salle du regard. A première vue, je note un fauteuil d’examen au centre de la salle, sur la droite se trouve un plan de travail avec un champ opératoire déplié, sur lequel se trouvent divers instruments de toutes sortes. J’en reconnais quelques-uns, mais certains me sont inconnus, même si leur aspect tranchant m’indique clairement leur utilité.
BIBIP !! BIBIP !!
Euh c’est quoi ça ? D’où vient ce bruit ?
J’essaye de me fier au son pour repérer l’origine de celui-ci. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour trouver le petit appareil qui émettait se bip. Une sorte de portable sur lequel apparaissait de manière synchronisée avec le « bip » le mot « URGENCE ». Soudain je compris.
- NON !!!! NON NON je ne veux pas… je ne peux pas !!!
Je me lance vers la porte de la salle, espérant l’atteindre le plus rapidement possible. Moins de 5 secondes se sont écoulées et déjà je pose la main sur la poignée… Mais celle-ci refuse de s’ouvrir.
- BORDEL!!!! OUVRE-TOI !!!
Je tire de toutes mes forces pour ouvrir cette satanée porte, mais elle ne bouge pas d’un pouce. Quand enfin la porte cède, je me retrouve propulsé en arrière et manque de tomber sur les fesses, me rattrapant de justesse au fauteuil d’examen.
Le temps que je me redresse, un brancard passe par la porte désormais ouverte. Deux ambulanciers sans visages transfèrent le passager du brancard sur le fauteuil d’examen. Instantanément je ferme les yeux, mais un hurlement déchire le silence de la salle. J’ouvre les yeux alors que le patient continue de hurler. Les ambulanciers ont disparu mais un homme est resté à côté de moi. Les hurlements laissent bientôt place à des gémissements plaintifs, mais je me force à ne pas regarder dans la direction du fauteuil d’examen.
- Ouvre les yeux et regarde. Me dit alors l'homme d'une voix forte.
L’homme pose alors une main sur mon épaule droite, et avec une force surhumaine, il me tourne vers le fauteuil. Je suis instantanément pris de nausées… Le patient est étendu, la vie semble le quitter petit à petit. Il est couvert de plaies. Il semble avoir été lacéré, son corps est recouvert de sang, en effet, ses plaies semblent particulièrement profondes. Je remarque alors son bras droit, enfin ce qu’il en reste. En effet, son bras est sectionné une dizaine de centimètres après l’épaule, mais la section n’est pas nette, des lambeaux de chaires sanguinolantes pendent mollement au bout de se qui restait de son bras…
Je perds alors toutes mes forces et tombe à genoux. La nausée se fait de plus en plus présente. Du sang perle alors sur ma blouse blanche. J’essaye tant bien que mal de reprendre mes esprits, et je ne me souviens pas être si proche du patient pour que son sang puisse arriver sur ma blouse. Je lève alors les yeux et la jambe du patient glisse du fauteuil. Je me retrouve alors à une dizaine de centimètre de cette jambe, une plaie béante s’étendant sur tout le long de sa cuisse. Je me retourne vivement, la nausée atteint son paroxysme et je me mets à vomir.
L’homme pose à nouveau sa main sur mon épaule.
- Regarde.
Dans son autre main, je remarque l’un des instruments tranchant qui se trouvait sur le plan de travail un peu plus tôt.
-Je ne veux pas… Je ne peux pas… Dis-je d'une voix plaintive et suppliante
Avec la même force que précédemment, il me relève et me tourne à nouveau vers le patient qui semble miraculeusement guéri de toutes ses blessures. Une vague de soulagement m’envahit alors. Mais l’homme à côté de moi porte alors son instrument au-dessus de l’abdomen du patient et d’un mouvement rapide et violent, le plante.
- NOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!!! ARRETEZ !!!!!!!!!!!!!!!!!!
L’homme ressort alors sa lame d’un mouvement circulaire laissant une longue trainée sanglante dans les airs, ainsi qu'une large plaie barrant l'abdomen du patient. Un nouveau haut le cœur me plie alors en deux et mes yeux se noient de larmes. Le patient hurle alors de douleur, et ses viscères se retrouvent à l’air libre.
Pourquoi est-ce que je suis là à regarder un malade mental éviscérer un pauvre homme ? Je dois l’aider. Je dois empêcher ce dingue de continuer.
Dans un élan de volonté, je me redresse et constate que le patient est à nouveau guéri. L’homme lève à nouveau sa lame au-dessus du thorax du patient cette fois-ci. Et à nouveau, il la plonge entre deux côtes. Un nouveau haut le cœur me prend instantanément.
- ARRETE !!!!!!!! STOP !!! PUTAIN !! ARRETE !!!
Mais devant cette nouvelle plaie, je reste comme pétrifié. Je suis seulement capable de hurler, supplier l’homme d’arrêter. Je ferme à nouveau les yeux, comme pour échapper à cette vision d'horreur qui semble parfaitement réelle.
Faites que ça s’arrête…
Je rouvre rapidement les yeux, et comme les fois précédentes, le patient dort, l’air paisible, sans aucune blessure. L’homme porte une nouvelle fois son instrument au-dessus du patient.
Quelqu’un doit l’arrêter… Pourquoi n’y a-t-il personne pour intervenir ? Si, il y a quelqu’un, MOI ! Je dois aider cet homme.
Le visage fermé, les yeux embués de larmes les poings serrés. Je surmonte un nouveau haut le cœur.
- LACHEZ CA IMMEDIATEMENT !
L’homme abat alors sa lame sur le patient et laisse une profonde entaille dans la gorge de celui-ci. Je bondis alors vers l’homme, lui assène un coup de toutes mes forces en plein visage. Un craquement sourd se fait entendre. L’homme, surpris se retrouve au sol. Je me jette alors sur lui et fais pleuvoir des coups sur son visage. Je ne me suis jamais vraiment battu, sauf contre mon frère (un peu plus jeune) pour rigoler et contre un imbécile qui cherchait tout le temps la merde au collège alors les coups que je portent sont assez hasardeux, mais comme l'homme au sol ne semble pas se débattre, ils atteingnent tous leur cible.
Une secousse parcours alors le corps du patient juste à côté de moi et me ramène à la réalité de ma situation, je me rends alors compte que le coup porté précédemment par l’homme au niveau de la gorge a atteint la carotide. Le patient se vide de son sang. Je prends une grande inspiration, combat un énième haut le coeur et plaque mes deux mains contre les bords de la plaie pour les rapprocher puis appuie de toutes mes forces pour faire un point de compression.
- VOUS ALLEZ VOUS EN SORTIR !! VOUS ALLEZ VOUS EN SORTIR ! TENEZ BON !
Je mets toutes les forces qu’ils me restent dans ce point de compression. Quand les deux ambulanciers entrent à nouveau dans la pièce, prennent le relais, je tombe sur le dos et ferme les yeux. Je suis à bout de forces.
DRIIIIIIIIINNNNNNG !!DRIIIIIIIIINNNNNNG !! (bruit de mon reveil, car oui j'ai mis le reveil old school)
- Hein ? Quoi ? Où suis-je ? Alors ce n’était qu’un rêve ?
Je m’assois sur le bord de mon lit, frotte frénétiquement mes yeux, puis prend mes lunettes sur ma table de chevet. J’éteins mon réveil, puis me dirige vers ma machine à café. Quelques instants plus tard, ma tasse presque vide à la main.
- Bon, allez, à la douche. Après direction la fac et GO en vacation de chir (oui je me parle souvent à moi-même, surtout le matin quand je n’ai pas eu ma dose de café et une bonne douche)
Pourquoi suis-je si content d’aller en chir ? D’habitude je stresse à mort, mais là j’ai hâte d’y être.
Age : 22 ans
Ville : Lille (actuellement, pour mes études)
Activité : Etudiant dentaire
Phobie 1 :
Phobie 2 : Phobie des serpents / Ophiophobie
Ce qu'il aime : les jeux vidéo (entre potes et l''aspect compétitif), le métal, la guitare, ses études (et son future métier)
Ce qu'il déteste : la paperasse, le fromage (quand il n'est pas cuisiné et fondu genre dans la tartiflette ça il aime beaucoup), les marabous et autres magnétiseurs.
Récap des nuits
Bon… Enfin chez moi.
Il est 19h15 et je suis enfin de retour dans mon appartement. Comme tous les jours, j’allume mon pc, dépose ma sacoche et range mon long manteau noir dans mon placard.
Je suis vraiment stupide d’avoir pris ce manteau aujourd’hui… Il a fait une chaleur à crever. En même temps il est trop classe ce manteau.
En revenant vers mon pc je me rends compte de l’heure qu’il est.
19H20 ! Déjà ! Mince j’ai raté le début du live de Zera…
Dans la précipitation, je me rue sur le clavier, et lance le stream de ZeratoR. OH !!!!! SON PERE !!! (Voix de ZeratoR, d’ailleurs ça gueule un peu dans l’appart parce que j’ai oublié de baisser le son après avoir débranché mon casque). Sur ces mots, je vais me préparer à manger et m’installe une assiette devant l’ordi.
Une fois mon repas terminé, machinalement je lance un jeu. Je n’ai vraiment aucune envie de travailler ce soir.
23H30
- Bon, je m’arrête là pour ce soir. On s’est bien marré, à demain en clinique les mecs.
Je coupe la conversation skype, pose mon casque et éteint mon pc. Je mets mon réveil puis je m’allonge dans mon lit. La journée a été éprouvante, le stress des parties que je venais de faire est retombé et la fatigue me gagne. Je pose mes lunettes, mes paupières sont lourdes. A peine ai-je fermé les yeux que je sombre dans un profond sommeil.
Soudain, je sens un courant d’air frais.
Qui a laissé une fenêtre ouverte ici ?
Je suis dans une salle de soin, elle ne ressemble pas aux salles de cliniques de la fac mais je porte bien ma blouse. Je parcours la salle du regard. A première vue, je note un fauteuil d’examen au centre de la salle, sur la droite se trouve un plan de travail avec un champ opératoire déplié, sur lequel se trouvent divers instruments de toutes sortes. J’en reconnais quelques-uns, mais certains me sont inconnus, même si leur aspect tranchant m’indique clairement leur utilité.
BIBIP !! BIBIP !!
Euh c’est quoi ça ? D’où vient ce bruit ?
J’essaye de me fier au son pour repérer l’origine de celui-ci. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour trouver le petit appareil qui émettait se bip. Une sorte de portable sur lequel apparaissait de manière synchronisée avec le « bip » le mot « URGENCE ». Soudain je compris.
- NON !!!! NON NON je ne veux pas… je ne peux pas !!!
Je me lance vers la porte de la salle, espérant l’atteindre le plus rapidement possible. Moins de 5 secondes se sont écoulées et déjà je pose la main sur la poignée… Mais celle-ci refuse de s’ouvrir.
- BORDEL!!!! OUVRE-TOI !!!
Je tire de toutes mes forces pour ouvrir cette satanée porte, mais elle ne bouge pas d’un pouce. Quand enfin la porte cède, je me retrouve propulsé en arrière et manque de tomber sur les fesses, me rattrapant de justesse au fauteuil d’examen.
Le temps que je me redresse, un brancard passe par la porte désormais ouverte. Deux ambulanciers sans visages transfèrent le passager du brancard sur le fauteuil d’examen. Instantanément je ferme les yeux, mais un hurlement déchire le silence de la salle. J’ouvre les yeux alors que le patient continue de hurler. Les ambulanciers ont disparu mais un homme est resté à côté de moi. Les hurlements laissent bientôt place à des gémissements plaintifs, mais je me force à ne pas regarder dans la direction du fauteuil d’examen.
- Ouvre les yeux et regarde. Me dit alors l'homme d'une voix forte.
L’homme pose alors une main sur mon épaule droite, et avec une force surhumaine, il me tourne vers le fauteuil. Je suis instantanément pris de nausées… Le patient est étendu, la vie semble le quitter petit à petit. Il est couvert de plaies. Il semble avoir été lacéré, son corps est recouvert de sang, en effet, ses plaies semblent particulièrement profondes. Je remarque alors son bras droit, enfin ce qu’il en reste. En effet, son bras est sectionné une dizaine de centimètres après l’épaule, mais la section n’est pas nette, des lambeaux de chaires sanguinolantes pendent mollement au bout de se qui restait de son bras…
Je perds alors toutes mes forces et tombe à genoux. La nausée se fait de plus en plus présente. Du sang perle alors sur ma blouse blanche. J’essaye tant bien que mal de reprendre mes esprits, et je ne me souviens pas être si proche du patient pour que son sang puisse arriver sur ma blouse. Je lève alors les yeux et la jambe du patient glisse du fauteuil. Je me retrouve alors à une dizaine de centimètre de cette jambe, une plaie béante s’étendant sur tout le long de sa cuisse. Je me retourne vivement, la nausée atteint son paroxysme et je me mets à vomir.
L’homme pose à nouveau sa main sur mon épaule.
- Regarde.
Dans son autre main, je remarque l’un des instruments tranchant qui se trouvait sur le plan de travail un peu plus tôt.
-Je ne veux pas… Je ne peux pas… Dis-je d'une voix plaintive et suppliante
Avec la même force que précédemment, il me relève et me tourne à nouveau vers le patient qui semble miraculeusement guéri de toutes ses blessures. Une vague de soulagement m’envahit alors. Mais l’homme à côté de moi porte alors son instrument au-dessus de l’abdomen du patient et d’un mouvement rapide et violent, le plante.
- NOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!!! ARRETEZ !!!!!!!!!!!!!!!!!!
L’homme ressort alors sa lame d’un mouvement circulaire laissant une longue trainée sanglante dans les airs, ainsi qu'une large plaie barrant l'abdomen du patient. Un nouveau haut le cœur me plie alors en deux et mes yeux se noient de larmes. Le patient hurle alors de douleur, et ses viscères se retrouvent à l’air libre.
Pourquoi est-ce que je suis là à regarder un malade mental éviscérer un pauvre homme ? Je dois l’aider. Je dois empêcher ce dingue de continuer.
Dans un élan de volonté, je me redresse et constate que le patient est à nouveau guéri. L’homme lève à nouveau sa lame au-dessus du thorax du patient cette fois-ci. Et à nouveau, il la plonge entre deux côtes. Un nouveau haut le cœur me prend instantanément.
- ARRETE !!!!!!!! STOP !!! PUTAIN !! ARRETE !!!
Mais devant cette nouvelle plaie, je reste comme pétrifié. Je suis seulement capable de hurler, supplier l’homme d’arrêter. Je ferme à nouveau les yeux, comme pour échapper à cette vision d'horreur qui semble parfaitement réelle.
Faites que ça s’arrête…
Je rouvre rapidement les yeux, et comme les fois précédentes, le patient dort, l’air paisible, sans aucune blessure. L’homme porte une nouvelle fois son instrument au-dessus du patient.
Quelqu’un doit l’arrêter… Pourquoi n’y a-t-il personne pour intervenir ? Si, il y a quelqu’un, MOI ! Je dois aider cet homme.
Le visage fermé, les yeux embués de larmes les poings serrés. Je surmonte un nouveau haut le cœur.
- LACHEZ CA IMMEDIATEMENT !
L’homme abat alors sa lame sur le patient et laisse une profonde entaille dans la gorge de celui-ci. Je bondis alors vers l’homme, lui assène un coup de toutes mes forces en plein visage. Un craquement sourd se fait entendre. L’homme, surpris se retrouve au sol. Je me jette alors sur lui et fais pleuvoir des coups sur son visage. Je ne me suis jamais vraiment battu, sauf contre mon frère (un peu plus jeune) pour rigoler et contre un imbécile qui cherchait tout le temps la merde au collège alors les coups que je portent sont assez hasardeux, mais comme l'homme au sol ne semble pas se débattre, ils atteingnent tous leur cible.
Une secousse parcours alors le corps du patient juste à côté de moi et me ramène à la réalité de ma situation, je me rends alors compte que le coup porté précédemment par l’homme au niveau de la gorge a atteint la carotide. Le patient se vide de son sang. Je prends une grande inspiration, combat un énième haut le coeur et plaque mes deux mains contre les bords de la plaie pour les rapprocher puis appuie de toutes mes forces pour faire un point de compression.
- VOUS ALLEZ VOUS EN SORTIR !! VOUS ALLEZ VOUS EN SORTIR ! TENEZ BON !
Je mets toutes les forces qu’ils me restent dans ce point de compression. Quand les deux ambulanciers entrent à nouveau dans la pièce, prennent le relais, je tombe sur le dos et ferme les yeux. Je suis à bout de forces.
DRIIIIIIIIINNNNNNG !!DRIIIIIIIIINNNNNNG !! (bruit de mon reveil, car oui j'ai mis le reveil old school)
- Hein ? Quoi ? Où suis-je ? Alors ce n’était qu’un rêve ?
Je m’assois sur le bord de mon lit, frotte frénétiquement mes yeux, puis prend mes lunettes sur ma table de chevet. J’éteins mon réveil, puis me dirige vers ma machine à café. Quelques instants plus tard, ma tasse presque vide à la main.
- Bon, allez, à la douche. Après direction la fac et GO en vacation de chir (oui je me parle souvent à moi-même, surtout le matin quand je n’ai pas eu ma dose de café et une bonne douche)
Pourquoi suis-je si content d’aller en chir ? D’habitude je stresse à mort, mais là j’ai hâte d’y être.