Kliinik, le Royaume Hôpital

[Krasghârn]

Oui, Gilberte est une camarade prolétaire aliénée. On lui rompra ses chaînes à la Révolution, même si en attendant elle semble lasse.

-Oui et non. Je peux contrôler les pulsions, les exhalter ou les inhuber, mais uniquement depuis l'extérieur, d'une certaine manière. Zéro introduction quelconque dans un quelconque esprit.

-Pour l'instant du moins.

Déso frr hein, mais je peux pas jouer au bus magique dans les âmes.

[Père Castor]

*Le Dr Woltz se pince le menton.*

-Hum. Dommage. Et... pousser en avant les névroses de quelqu'un, ce serait faisable pour toi ?

[Krasghârn]

-Oh, bah si on peut être un peu plus clair sur le terme, je pourrai répondre. Dans mon monde, ça veut pas dire grand-chose, "névrose". On l'utilise même-plus en science.

Remarque, vu les méthodes de traitement locale, iels ont dû rater la moitié des mémos depuis les années 50.

-Si on parle d'angoisses, de peurs, de léthargie ou d'obsessions, ouais, j'y arrive dans certains cas, mais j'ai jamais formalisé sctrictement les possibilités ou les limites du bail.

[Père Castor]

*Le Dr Woltz s'enfonce dans sa chaise et boit une gorgée de café. Gilberte n'ayant pas été renvoyée se contente de faire la plante verte en soufflant très fort et en lançant un "UGH!" de tems en temps.*

-Hum. Est-ce que ça t'intéresserait une collaboration scientifique entre toi et moi sur ce sujet. J'ai l'impression que le touche à un mur sur le plan scientifique et tu pourrais être la pièce qui manque au puzzle.

[Krasghârn]

-Ah bah yes, grave, j'avais besoin d'un stagios et tout. Non.

-Oh bah ça va dépendre à quoi on pense. Faudra bien définir tout ça, savoir à quelle question on veut répondre, et comment.

[Père Castor]

-Hum. Je vois. On en reparlera en temps et en heure alors.

*Et pour le reste, Kras peut terminer sa tasse de café et quitter le bureau de Woltz. Je reste ouvert s'il veut faire autre chose à Kliniik ce soir.*

[Krasghârn]

-Ca marche, on fait comme ça !

-Bah frr, je vais pas faire ton taf à ta place, uesh. C'toi qu'a le budget.

*Je précise que j'ai pas bu le café, btw. J'ai juste tenu la tasse pendant tout ce temps. Je suis pas parano, mais l'institution passe certainement pas les normes d'hygiène.

Je sortis du bureau et POUF.

C'est court une sieste.*

[Krasghârn]

SCHPOUF

-Maison, douce maison.

M'enfin, mon, quoi, troisième royaume de résidence, à force ? C'est fou, j'arrive à être un nomade casanier. Ca n'a aucun sens.

-Bref.

Je me craquai les cervicales, puis les doigts, et me dirigeai vers le bâtiment du collègue, cherchant du regard Zaldiec si le duo était déjà arrivé. En priant pour qu'ils aient pas commencé par du grabuge. Qu'ils soient là pour infiltrer le royaume ou une op clandestine, soit, mais si poss APRES que j'aie appris des trucs, nan mais oh.

[Père Castor]

*Kras vient d'arriver à Kliniik dans le jardin d'herbes haute qui a remplacé la pelouse à l'entrée. Tandis qu'il écarte les touffes d'herbe aussi haute que lui pour se frayer un chemin, il entend un bruit de combat un peu plus loin, sur sa gauche.*

[Krasghârn]

Je soupirai.

-Bourdieu de sacremerderie, mais vous avez tous décidé de me faire chier en fait ?

Narvalo, je suis à deux doigts de déboucher l'échantillon de sang de feu et le descendre droit ici et maintenant.

-Raaaaaah...

Je me dirigeai vers les bruits, histoire de voir si c'est des gens pertinents ou des cassos.

[Père Castor]

*J'espère que par "gens pertinents" Kras entend Zaldiec et Skarrow, car les deux sont en train de se battre contre une des créatures à pointes qui roulent dans la zone en attaquant plus ou moins tout ce qui bouge.*

[Krasghârn]

Je m'approche, l'air blasax.

-PUTAIN MAIS LE MONDE VEUT JUSTE ME FAIRE CHIER EN FAIT ? GENRE DEJA LE CANCER EXISTE, ET ENSUITE CA ?

Et, en avançant, je supprime les pulsions agressives de la bête, pour la rendre inerte. Enfin, autant que possible.

-Uesh, par ici. Déso pour l'accueil, j'y peux rien, les locaux sont spéciaux.

Après osef, on est là pour de la géopol.

[Père Castor]

*Kras bute presque sur Zaldiec qui est caché par les hautes herbes.*

-Hé ! Fais attention !

*La créature à pointes se calme et commence à rouler un peu au hasard, anormalement calme. Skarrow, ne comprenant pas vraiment le changement d'attitude, saute soudain dessus et lui colle une méga patate qui l'envoie valdinguer au loin. Il crache par terre.*

-Mais c'est quoi cette merde ! Ca n'était pas là avant !

*Mais voilà qu'avec le grabuge d'autres créatures arrivent vers eux. Zaldiec grimace.*

-Bon je n'ai pas vraiment le temps de discuter là tout de suite mais si tu peux nous indiquer l'entrée, je suis preneur !