[E8]La cité des Chauves-souris

[Père Castor]

[HRP: Ça change rien au fait qu'il y arrive pas xD]

*C'est bien de s'acharner, mais la sphère ne va pas se dissoudre comme ça.*

-Vous venez d'ici ? Ça m'étonnerait, je vous ai jamais vu dans le coin l'ami...

*Il sourit à Kras et reprend.*

-Appelle-moi Bud. Dis-moi, tu m'as l'air perdu, tu sais où tu es ?

[Krasghârn]

[HRP : Je sais, je voulais juste fixer les idées. C'est Kras qui sait pas.]

*Et le tavernier se mit à jouer sur les mots.*

-Nan mais on se comprend...Je viens de deux ruelles plus loin, pas EXACTEMENT d'ici... D'un autre côté, vous pouvez parler, moi non-plus je vous ai jamais vu dans le coin.

*Il réfléchit deux secondes.*

-J'ai jamais vu ce coin non-plis, remarquez...

*Puis le tavernier, après s'être présenté, passa au tutoiement.*

-Dans le bar de mon bud Bud, à boire une bud, pourquoi ?

[Père Castor]

*Bud fait la moue.*

-Non mais je veux dire... Cette ville est pas non plus si grande que ça. Si tu étais déjà passé par ici on s'en souviendrait.

*Il fait la grimace en se grattant la barbe.*

Il est bizarre l'étranger. Au moins il ne cherche pas les ennuis...

*Mais il ne chercherait pas à comprendre d'avantage le discours de Kras.*

-Et sinon, tu es là pour quoi ? Et par là, j'entends la ville. Je suppose que t'es pas juste là pour descendre des godets, si ?

[Krasghârn]

*Alors que Bud parlait, Kras remarqua quelque-chose. L'un des buveurs vida sa chope d'un trait. Bien évidemment, set que celàa sphère se réduisit encore, mais restait suffisante. Littéralement, ses inhibitions s'en allaient, même si Kras n'avait pas encore fait le rapprochement entre les deux parties de l'analogie.

Et ne le ferait peut-être jamais.

C'est qu'il est con, ce Kras.

Le truc, c'est que le principe de Lavoisier était respecté. Kras l'avait pas remarqué avant, puisqu'il n'avait pas vu de fonte en live, mais de la fumée s'échappait de ses oreilles, de sa bouche et de ses yeux, et voletait à ses pieds.
Maintenant qu'il y prêtait attention, le voyageur qui s'ignorait voyait que tous avaient une flaque plus ou moins grosse en dessous d'eux, et que sa taille dépendait de l'état d'ébriété de la personne.

Kras n'en avait pas, par exemple. Bud sûrement pas, mais il était derrière le comptoir, confirmation impossible. Celui qui gagnait jeu sur jeu aux cartes non-plus.*

-Non mais je veux dire... Cette ville est pas non plus si grande que ça. Si tu étais déjà passé par ici on s'en souviendrait.

-Bah à vrai dire, j'existe depuis dix minutes, donc à ce moment là, non, je suis jamais venu ici.

*Alors oui, il est très con. Pour lui, tout est normal. MAIS SORTEZ LE !*

-Et sinon, tu es là pour quoi ? Et par là, j'entends la ville. Je suppose que t'es pas juste là pour descendre des godets, si ?

-Dans la mesure où j'ai passé plus de cinquante pourcent de mon temps de vie à vider des godets, je dirais que si.

*Pour appuyer ses propos, il but une gorgée supplémentaire.*

-Du coup, vu que je suis nouveau et qu'il va bien falloir que je connaisse les gens que je côtoie, tu me présente mon nouveau chez-moi et mes nouveaux concitoyens ?

*Demande-t-il en embrassant la salle d'un mouvement de tête.*

[Père Castor]

*Le barman a un mouvement de recul quand il écoute Kras parler.*

-Minute... Est-ce que tu sais ce que c'est Dreamland ?

*En voilà une grande question.*

[Krasghârn]

*Kras frappa soudain sur le comptoir très fort, comme s'il pressait un buzzer. Il hurla :*

-QUESTION A UN MILLION ! JE REPONDS QUE DREAMLAND EST le pays des rêves.

*Il avait prononcé la fin de sa phrase calmement, sur un ton blasé, en regardant Bud dans les yeux dnun air de dire : "c'est bien gentil de me prendre pour un con, mais je parle anglais aussi, mon gros".

En réalité, cette pensée était absente de son esprit, c'etait juste l'impression qu'il donnait. Avant que le Barman n'ait eu le temps d'enchaîner, Kras sauta de son tabouret.*

-J'ai répondu à ta question, répondras-tu à la mienne ? J'aimerais bien connaître ma ville et mes concitoyens, et ça sera d'autant plus rapide si c'est toi qui m'en parle que si je dois le faire moi-même via des visites et des discussions.

[Père Castor]

*Le barman sursaute quand Kras se met soudainement à gueuler avant de répondre à la question. le barman est un peu sur le cul et choqué par cette déclaration et ce n'importe quoi mais il reprend vite sa contenance.*

Il est bizarre ce type ... Je pense qu'il vient effectivement de débarquer, c'est un foutu nouveau Voyageur.

*Il fait finalement les gros yeux.*

-Ta ville ? Tes conticoyens ? T'as l'intention de rester ici longtemps ?

*Il se gratte la tête, un peu décontenancé.*

[Krasghârn]

-Bah oui pourquoi, ça pose problème ?

*Ou alors... Kras prend un ton larmoyant. Balancez les violons.*

-Vous voulez pas de moi, c'est ça ? Mais j'ai nulle part ou aller, moi ! Ma vie entière s'est passée dans cette ville ! Vous pouvez pas me virer comme ça ! Vous avez pas le droit !

*Mais en réalité, cette émotion est fausse. Pas volontairement feinte, mais vous aurez compris, ou vous le comprendrez plus tard, que le nouveau Kras a une gestion des émotions un peu... Particulière. En gros, là, il éclate de rire, sans ressentir plus de joie qu'il ne ressentait de tristesse une seconde auparavant.

Il joue une comédie dont il est le seul spectateur.*

-Et non mon gars ! Je suis autant chez moi que toi, je reste ! Et comme tu veux pas me répondre, je vais demander ailleurs.

*C'est vrai que ça faisait déjà deux fois que ses questions restaient sans réponse. Du coup, quoi que Bud dise, le voyageur se barra du bar.*

-Pour la chope, fous ça sur mon ardoise.

*Et Kras sortit sans plus de mot. A peine dehors, il reprit l'avenue par laquelle il était arrivé, passa devant le passage où il était né et continua tout droit. Il s'enfonçait peu à peu dans les bas-fonds de la ville, où il se sentait plus à l'aise.*

[Père Castor]

*Le barman ne retient pas Kras, bien content que cet étrange Voyageur soit parti. Il se contente de hausser les épaules.*

-Je me demande vraiment si c'est un Voyageur en fait ... Trop perché.

*Kras est donc maintenant à l'extérieur avec sa boisson, il marche donc à contresens de son arrivée et s'enfonce dans des petits dédales de ruelles. Idéale pour les mauvaises rencontres même si les rares passants qu'ils croisent n'ont guère l'air de malandrins.*

[Krasghârn]

*Krassouille la fripouille déambule donc dans les ruelles, sa chope à la main. Il marcha ainsi quelques temps, sans boire. Quelques passants croisèrent sa route, mais ne lui prêtèrent pas plus d'attention qu'il ne leur en accorda.

Et comme rien n'a changé, bah il continue à déambuler.

Ah, et puis, il se réveille, aussi.*

[Inyo.0]

*Ma dernière nuit m'avais inquiété. Les épéiste étaient dangereux, Gotham qui venait juste de trouver son indépendance était en danger, Il fallait aller voir si ils étaient prêt à se défendre.*

***********

POUF

*Me revoilà dans cette ville...Elle semblait calme. mais je ne perdit pas de temps en contemplation et me rendit directement dans la taverne ou la révolution avait commencé....Quoi?...Mais pas pour boire un coup hein. Juste pour savoir ou ce trouve le siège du gouvernement local et si tout ce passait bien pour les habitant. Sur le chemin ce bon vieux bandit manchot apparut. Ni une deux je tirait sur le manche et repartit rapidement avec l'objet.*

[Père Castor]

888

*Le chiffre annoncé par le bandit manchot qui explose dans un nuage de fumée et qui laisse apparaître un cygne qui regarde Inyo avec de grands yeux.

La ville semblait calme.

Enfin si on enlève les 3 gens qui ont pris en chasse 3 autres gens qui ont pris en chasse 1 seul gens. Bref les gens se courraient après pour se taper dessus.*

[Inyo.0]

.....Un cygne donc. Un cygne.

-......Et donc tu sais faire des trucs?

*Je n'ai pas le temps d'avoir la...La....La "réponse" du cygne, qu'une foule de personnes se poursuivants les un les autres me passe devant.*

-Désolé de te brusquer, mais je dois les suivre et toi... Bah tu vien aussi... Tu peux voler ou je te porte?

*J'attend quelques secondes pour voir si le cygne me "répond". Si rien ne ce passe, j'attrape je cygne et coure pour rejoindre le premier groupe de poursuivants.*

-HEYYY. IL SE PASSE QUOI? POURQUOI VOUS LES POURSUIVEZ?

[Père Castor]

*Le cygne ne répond pas à Inyo. Le cygne regarde Inyo lui parler mais ne dis rien. Mais quand Inyo tente de se saisir du cygne, ce dernier réplique en attaquant Inyo ! Il n'était pas ce genre de bestiau ! Il n'allait pas se laisser faire impunément !*

[Inyo.0]

-Aïe, arrête, arrête.

*Je fis apparaître un fauteuil bouclier, pour repousser le cygne.*

-Aaaaattend. Je te veux pas de mal. Mais il faut que je suive ces gens. Pour savoir ce qu'il se passe. Donc si tu sais faire quelques chose ça serait sympa de me montrer... sinon suis moi...ou pas.

*J'attendis encore quelques secondes un signe du cygne. Et je partis en direction des fuyards.*

-Hum, hum......HEYYYYY! IL SE PASSE QUOI? POURQUOI VOUS LES POURSUIVEZ ?