[O][Zone 4] La Forêt Noire

[Black-Sheep]

*Quand Simon se réveilla, il y avait quelqu'un dans sa chambre.
Et ce n'était pas Gabriel si ça vous à traversé l'esprit.
Simon essaya de bouger mais il était comme paralysée. L'être tourna son regard vers sa proie.*

- Euh, bonjour ?

- ...

- Euh, vous pouvez partir ?

- ...

- Euh, vous seriez pas un vampire par hasard ?

*L'être sourit de toute ses dents, qu'il avait fort pointu d’ailleurs.
Simon trembla de plus belle.
Soudain, le soleil perça le ciel et fit briller le vampire.
Léger instant de flottement.*

- ...

- Quoi ?

- C'est bon Edward. Je sais que t'es pas un vrai vampire. Alors casse toi de ma chambre.

*Deux autres silhouettes se détachèrent de l'ombre.*

- Ah je t'avais bien dit que cette eunuque ne faisait peur à personne.

- Mais heu, ça marche super avec les jeunes filles pré-pubère d'habitude.

- Il a vachement l'air d'une fille ton rêveur avec sa barbe de trois jours.

- Silence, femme.

- Ta gueule Dio. On a assez d'ennuie comme ça pour que tu ne nous ressorte pas ta misogynie toute les 5 secondes.

- Mais qu'est ce qu'on va dire au seigneur Drake ? On en à pas chopé un de la nuit.

- Dégage, je vais faire le boulot.

- Dégage toi, c'est un boulot d'homme.

- Tu veux mon poing dans les gencives ?

- Euh les mecs.

*Simon s'était réveillé depuis longtemps.*

- Merde. Qu'est ce qu'on va dire au seigneur Drake ?

- Qu'est ce que vous allez dire. Je suis responsable à 0% de l’échec sur les rêveurs de cette nuit.

*Les 3 vampires décidèrent de régler la question par une bagarre général.*

[Klems]

*Il faisait noir, froid, et l'air était malsain.*

- C'est quoi ce bordel, je suis où là...

*Klems était vraiment pas rassuré du tout. Autant dire que le moment qu'il allait passer ne serait vraiment pas bien du tout, très stressant avec des risques de terreurs en option. La forêt lugubre s'étendait sûrement à perte de vue. A vrai dire entre les arbres c'était tellement sombre qu'on ne pouvait pas voir à plus de deux mètres. Donc il ne pouvait que s'imaginer la taille de la forêt. Le ciel était noir, comme la nuit, mais en cet instant précis, il ne voyait pas une étoile dans la toile nocturne qui s'étendait au-dessus de lui. Le peu de lumière existant permettait de mettre en avant des ombres qui étaient plus noires que la nuit elles mêmes.*

- Je veux pas rester ici, je veux pas...

*Se dit Klems dans un murmure. Les ombres se mirent à bouger au moment où il dit cela. Elles glissaient, rampaient. Elles avaient en somme des mouvements qui signifiaient rien de bon. Le jeune homme commençait à se sentir pas bien, sentant ses intérieurs se liquéfier par la peur.*

- Je veux partir d'ici, je veux partir... Où est la sortie... ?

*En se tournant un peu, le seul filet de lumière qui existait aux alentours passaient par un minuscule trou à travers la forêt.*

- C'est pas vrai, il ne faut quand meme pas que je passe par là...

*Les ombres, les branches, les arbres, tout semblait commencer à accélerer légèrement le mouvement, comme s'il les choses invisibles commençaient à s'impatienter. Cela décida Klems et il s'avança vers le point de lumière. La forêt installa une nouvelle noirceur. Le jeune ne pensait pas qu'il puisse y avoir un noir plus noir que le noir. Et pourtant il était là. Il se demanda même comment la lumière pouvait passer à travers l'encre visuelle de la place. Certains mouvements autour de lui semblaient aussi s'énnerver un peu plus, comme s'ils n'attendaient qu'une petite erreur de la part du solitaire. Tout en marchant, aucun son ne sortait de ses pas, il n'y avait aucune branche, juste de l'herbe. Ou de la terre meuble, il n'aurait su le dire. Mais une chose était sûre, malgré ses déplacements, le silence était total. Des présences étaient venues s'ajouter aux autres et paraissaient se rapprocher de Klems. Ce dernier piqua un sprint de terreur en espérant trouver rapidement l'origine de la source de lumière. Enfin, il arriva au niveau d'un petit cercle. C'était une bougie, présente depuis peut-être très longtemps.*

- Comment cette chose peut-elle faire autant de lumière dans un endroit comme ça.

- A TAAAAAAAAAAAAAAAAAAAABLE

*Fit alors une voix dans l'obscurité, grailleuse, sèche et vraiment pas rassurante du tout. Klems sut alors que c'était la fin. La bougie permit de montrer enfin les monstres ténébreux qui se trouvaient autour de Klems lors de son périple. Il étaient très grands, et effrayants. Ils avaient tous des corps issus des pires cauchemars humain, prêts alors à sauter sur Klems.

Une ombre s'approcha de la bougie. Elle la souffle. Klems entendit un cri général strident et grinçant. Et Klems se réveilla.*

[Popi]

-Du balai morveux.

- Dis donc tu sais que...

...Je t'enmerde mon petit père

*Zeno n'eu même pas le temps de finir sa phrase qu'il se retrouva face à un autre décorum.*

qu'est ce que quoi?

*Zeno apparu dans une forêt lugubre*

Oh l'enculé il m'a transposé quelque part. Bon ou est-ce que je suis. Une forêt... elle ressemble pas à celle que j'ai vu.

*Zeno pris le temps de regarder autour de lui*

C'est plutôt sombre par ici, pas vraiment rassurant...

*C'est alors qu'il vit une créature de Dreamland surgir. Ou était elle là depuis le début? Elle était droite, sereine, et regardait au loin.*

Ou est-ce que je suis encoré tombé...

- Excusez moi je crois que je me suis encore perdu peut-etre pouvez vous m'aider?

[Père Castor]

*La créature, une sorte d'élan d'où transpirait une sorte d'énergie noire dégueulasse, la créature s'avance vers Zeno avant de se jeter sur elle en poussant un hurlement de la mort.*

[Popi]

*Zeno vit une transpiration, une aura sombre.Une aura si noire qu'elle retranscrivait le malaise. C'est alors qu'il comprit. Elle n'attendait que la mort et la destruction. Sorte d'instinct primaire de survie ou de dominance. Alors il fallait répondre par le même écho. Dansons, dansez dans la litanie de la mort...

- Que...

*Zeno tentant une esquive. Sa résolution disparu pour laisser place à son instinct de survie. Un éclat s'alluma dans ses yeux. Sorte de lumières vive, diabolique qui comprit. Comprit que c'était elle ou lui. Il lui assena un coup sur la tempe suivit d'un uppercut sous le menton.*

- Crève saloperie !!

*Zeno se perdit dans son ivresse fatale. Tel un berserker buvant le vin des valkyries il se déchaîna.*

- HAHAHAHAHA PREND CA !!!

*Coup de pied rotatif, coup de poing dans un supposé foie, coup de coude dans les mâchoires, seul l'adrénaline dictait ses coups. Il s'était mué en avatar de ses convictions ébranlées et seul la destruction lui importait.

- VIENS, T'EN VEUX ENCORE !

*cria-t-il en continuant les coups.*

- VIENS !

* Il la malmena déchaînant sa frustration.

- SI TOUT N'EST QUE HASARD QUE L'ON MONTRE LA FINALITE

*Il se concentra pour animer son pouvoir et posa sa main face à la créature éberluée.*

- FAIT TON OFFICE BOURREAU ET QUE DANSE LA FATALITE.

[Père Castor]

*Zeno a peur et du coup, Zeno se déchaine. Il tabasse l'animal sans lui laisser de répit. A chacun des coups de Zeno, la peau de la crétature éclate comme s'il elle était faites de verre. La coque de l'animal semblait se briser pour laisser place à une créature faites de noir. Puis Zeno active une porte qui s'ouvre. Une main géante équipé d'une tapette à mouche émerge de la porte et fait sprotch sur l'élan qui explose dans une brume noire.

Zeno a vaincu mais le bruit du combat semble avoir attiré les créatures aux alentours.*

[Popi]

*Le combat d'une violence inouïe se termina. Zeno épuisé senti qu'il était épié*.

- phff phff

*Des créatures attirées par les bruits du combats furent attirées et épiaient avec attention le survivant de ce combat sanglant. Etait-il une proie? Etait-il affaiblie? Étaient-elles gourmandes?

Avez vous déjà senti cette sensation? Celle du dîner à la parfaite cuisson. La proie croquante sous la dent?*

- Vous me voulez hein?

*Zeno qui reflétait d'habitude une peur, effroyable - secondaire phobie? - pour la mort se sentait serein.*

- VOUS VOULEZ DANSER?

*Le rieur s'était mué. Est-ce sa rencontre avec le seigneur du hasard? Est-ce sa découverte de ce monde onirique qu'est Dreamland? Est-ce sa vie réelle? Quoi qu'il en soit il avait changé très dernièrement. Il sentait en lui une énergie nouvelle. Un ultimatum réalisable, une non-vie abrutissante.
Il se recroquevilla. Dans sa nouvelle folie voici ce qu'il pensa et ce qu'il annonça.*

Et je vis l'Agneau qui ouvrit le premier des sept sceaux, et j'entendis l'un des quatre animaux qui disait comme d'une voix de tonnerre:
" Viens! " Et je vis paraître un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc; on lui donna une couronne, et il partit en vainqueur et pour vaincre.
Et quand il eut ouvert le deuxième sceau, j'entendis le second animal qui disait:

*Les créatures voyant cet être fragile s'approchèrent doucement. Plus le chasseur est effroyable plus il est prudent. Ils attendirent le réel moment de faiblesse et s’assurèrent de ce repas délicieux.*

- Viens!
Et Il sortit un autre cheval qui était roux. Celui qui le montait reçut le pouvoir d'ôter la paix de la terre, afin que les hommes s'égorgeassent les uns les autres, et on lui donna une grande épée.
Et quand il eut ouvert le troisième sceau, j'entendis le troisième animal qui disait: " Viens! " Et je vis paraître un cheval noir. Celui qui le montait tenait à la main une balance;
et j'entendis au milieu des quatre animaux comme une voix qui disait: " Une mesure de blé pour un denier! Trois mesures d'orge pour un denier! " Et: " Ne gâte pas l'huile et le vin! "

*Les créatures s’avisèrent. Ce moment de regain, cette vitalité soudaine n'était pas habituelle. Est-ce une stratégie génétique? le chasseur serait-il en fait q'une proie?*

- Et quand il eut ouvert le quatrième sceau, j'entendis la voix du quatrième animal qui disait: "Viens!
Et je vis paraître un cheval de couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la Mort, et l'Enfer le suivait. On leur donna pouvoir sur la quatrième partie de la terre, pour faire tuer par l'épée, par la famine, par la mortalité et par les bêtes féroces de la terre.

*Pendant qu'il déblatérait, il établissait un rituel, sorte de tango esseulé il emmagasinait l’énergie enivrant son corps. Dans sa danse mortuaire il dessinait, artiste hors du monde, sa formation basique, tétraèdre originel, monument de protection arctique à l'offensive sanglante.*

- J'en appelle aux quatre cavalier !!!

*Cria-t-il. Le tétraèdre inversé



*Le symbole du diable aurait pu s'exprimer mais il n'en avait pas la puissance...
Un tétraèdre inversé de porte invariables s'installa. Zeno, devenu pleinement fou. Lui maintenant sans peur irrationnel par ce monde onirique, monde sans sens et sans rationalité il se laissa porté. Porté par le flux de ses paresthésies, symbole de récepteurs nouveaux.
Après tout qu'importe l'avenir quand le passé n'existe pas? qu'importe la possibilité quand on ne la contrôle pas?.*

[Père Castor]

*Pleins de portes de partout. Toutes s'ouvrent alors que les créatures esquissent un mouvement de recul. La première crache une porte, la deuxième aspire tout devant elle. La troisième laisse sortir une sorte de minotaure sauvage enragé, la dernière explose tout simplement.*

[Popi]

*Un moment de chaos pur, où le destin joue aux dés sa journée monotone.
Tout commença par un rire sinistre*

- HAHAHAHAHAHA

*S'en suivit le souffle du vent, lorsqu'il aspire au néant, puis, une détonation, pure, rugissante, élaborée.
De cette explosion le corps de Zeno vola, atterrit contre un arbre, et s'assoupit, dans les bras du néant. Le noir engloutit sa conscience et il s'effondra dans les limbes.

Seul un spectateur aurait pu prendre conscience de ce qui s'en suivit. Un minotaure, invoqué par un pouvoir hasardeux était en manque de sang. Son regard se porta vers notre protagoniste. Son nez crispé expira sa fureur, il leva ses deux bras musclés, prolongés par sa lourde hache, qu'il laissa retomber avec force, scindant en deux Zeno et son voyage onirique...*

[Père Castor]

*Euh... Bah je crois qu'il est mort.*

[Tushin]

Dans la périphérie de la forêt Noire, une petite clairière abritait une tombe. Seule une stèle vierge se dressait à cet endroit. Personne ne savait vraiment qui était enterré ici. Mais ce qui était certain, c'est que personne ne voulait s'en approcher car tous savaient qu'une grande menace y gisait.

Un nuage noir virevoltait dans le ciel de la forêt. Celui-i allait et venait comme s'il cherchait quelque chose. Il atterrit non loin de la clairière. Le nuage noir avait donné place à Turon marchant calmement, mais d'un pas déterminé.

- Dans quelques mètres, à moi la puissance absolue !

Une fois arrivé au début de la clairière, il fit une pause et observa les alentours. Un silence pesant avait prit position, une ambiance pesante se faisait ressentir. L'herbe était extrêmement courte et ne laissait monter qu'une stèle grise qui faisait office de tombe. Le garçon fit craquer son cou, étira ses poignets et souffla doucement. Il entama un pas très lent, avec la plus grande des précautions. Dès celui-ci finit, un petit son se fit entendre, des traits lumineux partirent vers la tombe et tout un cercle magique apparut dans la clairière.

- Tu... vas.... mourir... Tu ne pourra... JAMAIS.. me contrôler !!
- Cause toujours !

Une brume noire de jais sortait de la stèle et ce qui pouvait s'apparenter à des tentacules sortaient du sol, remontant le long de la pierre. Dans le même moment, Turon leva les bras et fit jaillir des flammes bleutées. Celles-ci prenaient la forme de félins immense et bondissant en direction de la stèle. Le choc fut intense. La brume avait accusé avec un peu de difficulté les chats de flammes. Elle contre-attaqua avec d'immense lance noir en direction de Turon ! Le bonhomme était déjà parti à la charge. Il avait en main un bout de métal qu'il enflamma et auquel il donna la forme d'une épée flamboyante. Parant les pics noirs, il continua son avancée et dressa sa lame en bondissant vers la pierre. Il la frappa de plein fouet et détruisit, sur le moment, toutes traces de brume et de tentacule.

- Putain !

La stèle était fendue. Dans sa fêlure, on y voyait un petit cristal. Turon s'empressa de finir le travail à grand coup d'épée et, dans un bruit de gravas, il réduit la stèle en cendre, laissant un cristal d'une clarté pure.

- Tu es à moi !

D'un coup sec, il se saisit de la pierre à pleine main. Le cristal brilla de mille teintes.

- JA.... MAIS !!

Les scintillements se renforcèrent et, dans un immense halo d'un blanc immaculé, il absorba le rêveur d'une traite. La lumière cessa, le cristal tomba au sol. La terre le ravala et une pierre tombale sortit à la place.

On dit qu'il existe une créature dévorant les rêves... Nul ne sait ou elle se trouve, ni à quoi elle ressemble. Elle modifie l'imaginaire des rêveurs, les attirent et les dévore. Bon courage amis Rêveur

[Janzo]

*Après une nuit riche en rebondissements en folie je poperai au beau milieu du truc du cul du monde.*

/C'est mort ! Plus jamais je me porte garant d'un Baby ! Et d'un autre voyageur aussi d'ailleurs... Pk notre espèce est si chaotique sérieux ?/

*ouvrant les yeux je me rendrait compte que je me suis retrouvé dans une forêt vraiment bien sombre de fou pour le coup.*

/J'suis de nouveau dans cette forêt avec les espèce de cerfs a gueule de babouin ? Nan y fesait pas si sombre et j'y est pas pensé donc y a peu de chance que je me sois de nouveau retrouvé la bas !/

*Voyant qu'on y voit pas grand chose je ferai apparaître de la lumière à travers mes yeux pour faire effet lampe de poche et voir un peu mieux autour de moi.*

[Père Castor]

*Janzo est arrivé dans un nouvel endroit. Il peut vaguement lui évoquer le Lac Trouble, mais vaguement uniquement. L'endroit est sombre, malsain et brumeux. Il y règne un silence malaisant et il n'y a pas un souffle de vent.

Gêné par l'obscurité ambiante, Janzo allume ses yeux pour faire lampe de poche. Quand il braque le faisceau vers un buisson, il entend un cri et voit une créature noire s'enfuir.*

[Janzo]

/Putain mais c'est quoi c'te bordel ! Les endroits, les chose et les gens que je croise deviennent de plus en plus morbide et dérangent ses derniers temps.../

*En regardant autour de moi je tomberai sur un buisson
qui se gigotera en posent mes yeux/lumière dessus puis un crie en jaillit et une créature suivi.*

/Merde ! Déjà ! /

*Je me mettrai en garde près à un affrontements mais au final la créature se mettra à fuir dans la direction opposé ou je suis.*

/Ho... oookkkkkkk j'imagine.../

*Je porterait mes mains à ma bouche pour faire porter ma voix et me mettrais à gueuler.*

DÉSOLÉ MEC ! JE VOULAIS PAS TE FAIRE PEUR !

*J'attendrai une réponse et si la créature préfère continuer sa course alors je me contenterai de tracer ma route à la recherche de quelque chose qui se démarque.*

[Père Castor]

*La créature continue à fuir loin de Janzo. Il se retrouve à nouveau seul. Il décide donc de chercher autre chose qui se démarque. Il progresse plus loin dans la forêt, et il croise autre chose au détour d'un sentier.

Est-ce que cet ours noir aux yeux rouges qui semble exhaler une brume noire par les narines et la gueule se démarque assez pour lui ?

Ah et la créature pousse un hurlement glaçant avant de courir vers lui, visiblement pour le buter.*